.png)


Dans notre société la vitesse est devenue un paramètre symbolique de notre façon de concevoir à la fois notre relation au monde et notre relation aux autres.
Sans cesse nous éprouvons le besoin de prendre le temps, de prendre de la hauteur, de prendre la mesure des choses de la vie, de peser nos gestes nos mots et nos actions.
La vitesse d’une société qui va de plus en plus en vite avec les recherches incessantes sur l’Intelligence artificielle dans notre quête de donner à un autre "genre" une capacité de se substituer pour nous aider à établir concevoir élaborer deviner et un jour peut être inspiré à notre place.
Ce besoin incessant de consommer en tous domaines génère en nous une manière différente d’appréhender désormais le monde, de le voir, de le comprendre, de le ressentir….
Le cœur d’un enfant avec l’expérience d’un sage, comment concevoir cela…..aimer, s’émerveiller, dessiner un mouton, comprendre que la rose est fragile, et que l’amour que nous avons en notre cœur est la source de ce qui a révolutionné le monde….
Comment aimer, si on ne sait comment s’aimer, comment chérir si on ne sait se chérir….
Quelque part, dans le silence de nos silences réside cette perle secrète qui ouvre notre cœur, au monde, aux autres et comme l’enfant il faut savoir s’émerveiller de chaque instant, de chaque moment, de chaque échange et diffuser quel que soit l’environnement la lumière de cet amour.
Alors oui, certains oseront, certains en rêveront, d’autres laisseront aux autres le soin de faire, de chercher, de ………………, mettez-y le verbe que vous voulez.
J’ai vu de mes yeux, pardon, excusez-moi, j’ai vu de mon cœur, le monde me sourire, j’ai vu le monde m’échapper, j’ai vu le monde s’écrouler, et bien d’autres situations ou avec le recul de mon expérience, ……… sur le chemin de la sagesse …….
j’ai vu que tout cela n’était que des illusions créées comme ces cauchemars qui nous hantent lorsque nous sommes enfants, nous avons peur de la grosse voix du monsieur, nous avons peur du grand monsieur.
Tout cela s’accompagne de paroles et de gestes de ceux qui nous entourent qui eux-mêmes sont confrontés à leurs propres conceptions qui continuent de les accompagner sans les avoir dépassés.
Nous avons de manière si aisée tendance à raccourcir ou à nommer à analyser à juger mais il est une récurrence commune à chacun, c'est l'amour conjugué à tous les temps qui s’accompagnent d’adjectifs qualificatifs, de substantifs, trop d’amour, pas assez d’amour, trop ou pas assez, il y a toujours une quantification et il faut se demander si celle-ci est nécessaire.
Je me suis souvent demandée s’il était possible de quantifier l’amour, et nous revenons à notre conception de cette société, quantifier, mesurer, aller vite.
Nous fonctionnons comme de véritables entreprises personnelles ou nous faisons sans cesse un bilan de ce que nous sommes de ce que nous produisons matériellement et humainement.
Je ne me souviens pas avoir appris cela de par l’éducation ou de par la société.
Ce que je sais c’est la joie que l’on éprouve quand notre cœur s’emballe, quand nous nous laissons bercer par les sentiments qui nous portent qui nous motivent et qui nous transportent.
Aimer, comment aimer, pourquoi aimer, souvent l’amour nous est Synonyme de souffrance ou de drame et la littérature antique ou moderne ne cessent de nous présenter des modèles ou cela n’est pas porteur de bonheur ou ....Pourquoi ...Comment…
Fatalité des associations ancrées…….
Aimer est déjà une guérison,
s’aimer c’est se libérer
....c'est se guérir
se guérir c’est guérir le monde
Et tout le monde peut guérir
C’est dans ce contexte général que nous avons créé le terme de RésiliAnge.
Tous nous connaissons le terme de résilience qui aujourd'’hui exprime la faculté de dépasser les épreuves et de les transformer en positif. Pour l’Ange, c’est un être spirituel, accompagnant et messager qui aide et accompagne dans l'ombre pour la lumière.
_edited.png)